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Le Domaine Des Hommes

by Verlies

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Ippocalyptica
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Ippocalyptica Depressive black metal does not usually do it for me, but that is because a lot of DSBM is overly raw, monotonous, and one-dimensional in nature. With Verlies, the melancholy is expressed through an atmospheric and melodic post-black metal filter, and with dynamic compositions, which results in a captivating effect. I hate using this adjective in reviews, but the emotion really does come through as sincere. The passionate and varied vocals also add to the affair. Another French gem! Favorite track: L'Abîme Du Guide.
Paintingmantis
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Paintingmantis I’ve nothing but love for this album. Fabulous, indulgent avant-guard black metal that draws you in & keeps you captivated.
Maison Planàterre
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Maison Planàterre Verlies ajoute une touche inédite de progressivité et de mélodique à l'ambiance lourde propre au Métal Noir. Le choix de la langue française n'apparaît pas ici comme un pis aller, mais plutôt comme un attribut méritoire. J'avoue que l'intelligence retrouvée dans cet album hausse encore d'un cran mon engouement pour la scène Métal française.

Maladie:
www.youtube.com/watch?v=qKbHe78Mjq4

Aussi ici:
hypnoticdirgerecords.bandcamp.com
album/le-domaine-des-hommes Favorite track: Nouvelle.
Andy O)))
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Andy O))) Incredible debut! Never thought jazzy black metal could work so well. France does it again with yet another amalgamated subgenre experiment.
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1.
Intro 03:40
2.
Nouvelle 10:35
Nouvelle Dans mes rêves je ne vois, que l'idée d'une perception de la souffrance, Mais aveuglé, je ne peux de mes pas, accompagner son esprit dans cette danse... Ma renaissance, aiguisée comme un pieu traverse mes sens. Au nouveau sortir de l'origine du monde, je me sens périr un peu plus... A chaque seconde. Baignant dans un spectre, à l'odeur insipide, Je sens ma pensée brûler par cet acide. Condamné de nouveau, j'aimerais fuir d'ici... Ma tête Ma tête pousse un cri: "Sombre est mon cœur, il a perdu sa valeur! Abject est le goût de mon sang, qui s'évapore lentement! Empêchés, mes soupirs râlaient un noir avenir, Ma haine est trop féroce, mais ma peine... Est atroce!" Seulement mon poing ne tape plus, car Dans sa noirceur, la vie n'est pas battue Même par les coups, je ne porterai qu'un râle... Pour crier que j'ai mal! Dans un puits oublié, nos joies sont dévastées Attirées dans cet abysse par un feu voilé couvert d'artifices. Une peine, Mélancolie qui me sème dans un champ brûlé par l'orage, La tête pointée vers les nuages. Les nuages grisonnants, dont les feux s'éteignent avec le vent Nous pleurent sur les mains Oubliant mon vœu de trépas lointain. Dans les flots, ma rage se consume peu à peu. Mais avec toute ces eaux... Mon Vague de l'âme navigue aux cieux.
3.
Maladie 09:19
Maladie En morceaux, dans une eau, croupie par ce qui suinte du beau. Mais cette fois, je m'en moque, Et le toc, c'est le malaise de ma voix. Des naseaux fumants au souverain penseur, Il n'y a que des relents de rage sous la vapeur, Ma peau elle se dessine, se craque et se consume Pour que le mal s'obstine à prendre du volume. Les cellules meurent Les glandes de la peur, m'embrasent... Dans leurs tourments! Marcher dans les flammes de l'incendie de soi, Sans eau pour asperger, le moindre de ses émois. Et tout revient en tête, le mal dans son armure Gravant à l'intérieur le sens de "pourriture"! Insidieux comme le poison, qui se répand lentement en moi! Et dans mes veines comme dans les ruelles d'une ville, Sans barricades, sans défenseurs habiles, Le ver solitaire, à me ronger s'emploie... « Atteindre le but... Atteindre le cœur... Je vois en cette faiblesse la puanteur... Atteindre le but... Atteindre le foie... Comprendre que l'on est cette erreur... Mais encore se demander "Pourquoi?" » Terrible! Horrible! La rage est accessible! A ceux qui chialent encore de leurs larmes sur-convertibles! On te promet une peine qu'au fond on ne porte pas, Et tout ce qui s'arrête, ne recommencera pas! Les attitudes risibles et les vaines lamentions, Se lancent des défis à qui aura le son, Du cor qui sonne la dernière chasse du condamné Quand on sait que celui qui crève, ne sera pas renouvelé! Et lentement... J'accepte un funeste traitement. Sans être conscient du poids du temps, Qui guide à pleines mains mes relents De gerbe au vent!
4.
L'Abîme du Guide L'oublieuse de mes peurs La reine de mes pensées Me renvoie à chaque heure A ma vie harassée Par les affrontements impies De mes rêves dévastés Ce n'est pas de l'amour fini « Ce n'est qu'une sombre forêt ». Et nu son corps ne fait que provoquer En moi l'éruption d'un désir malmené Par les grèves d'un lieu mort qu'on appelle la vie Si je reste là, j'ai tort. Si je mens, je m'enfuis. Au delà des soupirs et par delà le sang Qui inquiète à nos heures les sadiques innocents Ça me tue aujourd'hui, je regarde un feu Qui consume mes rêves d'inconnu et d'adieu. « Et le silence macabre ne sera effacé Que si on l'entend prononcer sa pensée. » Promenons-nous dans les bois de notre peine Noyons nous dans l'étang gris de la haine Les vents et les bourrasques ne seront pas de marbre Ma souffrance en vaut la peine, ici naîtra un arbre Souffrante ma raison se perce les veines Bercée suffocante et criant une immuable rengaine « Quand les corps s'affaissent et que l'esprit devient flou Ce n'est que la jeunesse qui se laisse mordre par les fous. » Les parfums et les sons se mélangent Ma vérité blesse quand elle s'échange Mais le ciel ne me verra jamais Que comme une goutte de pluie qu'il a versé.
5.
L'Absolution 09:14
L'Absolution Loin, c'est de loin que vient, Le chant maudit par la peine la plus dure. Arraché des cordes que le vent emporte Par son horrible fêlure. Loin, c'est là où est, Le corps maudit qui enfin, Est pressé d'avouer que plus rien ne lui convient. Assis sur un banc dans l'ombre Sous un ciel rempli d'étoiles. Perdu dans un vaste comble, D'une pensée qui tend ses voiles. Ce n'est pas en retirant le ciel, Que l'on fera à l'aviateur, Oublier l'envie de voler Qui elle donne à la vie, sa vraie chaleur Loin, c'est de loin que vient, Le souvenir d'une parole des plus dure. Pourrie par le vent qui chiale, Qui pousse son souffle à la cassure mais, Loin, c'est là où est, Le corps raidi par la faim, Pressé d'avouer que plus rien ne lui convient... Ses lèvres fatiguées glissent un murmure abyssin: « Mais... Le conte est mort... Souvenir glacé, qui hante mes... PORES! » De me douter que tout pouvait s'arranger Je n'ai jamais cessé. Et toi, qui t'enfuis, sauras-tu te pardonner, Le trou béant qu' en moi tu as creusé? « Le conte est mort! » De me douter que tout pouvait s'arrêter Je n'ai jamais cessé. Mais la brûlure d'une vie qui nous jette vers le cendrier... Ne me fait pas phœnix, seulement balafré! Voici l'antre noire Dehors, il y a la terre et tous nos pires cauchemars! Adieu jusqu'à la prochaine, Tu me pardonneras encore pour augmenter ma peine! C'est une entrainante ronde Prévue sans lendemain Elle m'assimile et elle retombe: La guillotine sur mes mains! - Je suis au genoux de la grâce accepte la enfin Toutes mes paroles, et tous mes mots seront mon intrusion Pardonne moi si je nique ta race!... Donne moi l'absolution! C'est une entrainante ronde Prévue sans lendemain Elle m'assimile et elle retombe... Le cataclysme, c'est la fin! Tel le voile qui la recouvre de parfum... Visant à faire de nous ses beaux défunts... Je n'ai jamais autant désiré... Que le venin de mon sang soit meurtrier!
6.
Marcher sur Le Vide Je perds l'équilibre dans les vastes escaliers, A chaque étage je vacille, mais l'appui sur les plaies ne cesse de m'élever! Dans l'éclat de l'uniformité Le blanc des états, ici rassemblé Se presse encore contre moi Silencieux de sa cruauté... Je pense au froid, je pense au salé qui affirme que les croûtes ne sont cicatrisées Et que l'heure approche... Où la lumière devra s'étayer! Marcheur aveuglé A chaque pas, le poids des années Mais qui porte encore le temps? Du vide, le sol est absent... Des ombres qui tracent sur les murs de l'espace, Les limites de nos terres, poursuivies jusqu’en enfer! Mais je crois aujourd'hui... Que l'ailleurs est ici, Mais partout on le fuit! Être, sentir, mais connaître sans savoir: Le prix de mon existence, Sommée de cesser, à peine après ma naissance. Vider son ventre de tous ses besoins Merde comme sentiments, Car l'ailleurs est le vase qui contient le néant.
7.
Luna Liquor 02:33

about

"Le Domaine Des Hommes" is the first full-length release of the French atmospheric black metal band Verlies.
First released digitally on January 6th 2014, the album is released physically on May 28th 2015 through:

Hypnotic Dirge Records (www.hypnoticdirgerecords.com)

and

Throats Productions (www.facebook.com/Throats.Productions)

credits

released May 28, 2015

N - Composition (Everything with some exceptions), Writting, Guitar, Drum, Vocals
F. - Ex-member, Lead Guitar Playing
T. - Bass

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Verlies Lille, France

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